Dans Je suis un écrivain japonais, ces mots de Laferrière pour décrire Nicolas Bouvier, brièvement rencontré entre deux avions : "Si plein de vie et épuisé à la fois. Sa valise au pied de la table." J'imagine, oui, qu'il devait en être souvent ainsi, pour ce voyageur forcené : se souvenir de la fièvre du Journal d'Aran , de celle du Poisson-scorpion
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire