"Par ta vie ! C'est l'instant, entre tous, où tes yeux
Pleurent Laylâ, au vent qui souffle du midi.
Aimer ceux avec qui je vis, je ne le peux :
Loin du camp, le seul être à aimer est parti.
Quand le vent souffle et monde, au plus haut, je me sens,
Avec lui, au plus haut, proche parent du vent."
27.
"Je promène mes yeux vers le ciel, dans l'espoir
Que ses yeux, fixés là, croiseront mon regard."
115.
Le Fou de Laylâ : Le dîwân de Majnûn, trad. André Miquel.
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