"J'en jure par Celui qui voulut habiter
Thabîr et l'élever sous un dais de nuages,
Par la course éperdue sur le désert sauvage,
La monture amincie comme un fourreau d'épée :
A t'aimer trop longtemps, j'ai vécu, ô Laylâ,
En frère de la mort, car l'amour ment, parfois..."
Le Fou de Laylâ : Le dîwân de Majnûn
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