vendredi 2 mai 2008

Plaintes et reproches


"J'en jure par Celui qui voulut habiter
Thabîr et l'élever sous un dais de nuages,
Par la course éperdue sur le désert sauvage,
La monture amincie comme un fourreau d'épée :
A t'aimer trop longtemps, j'ai vécu, ô Laylâ,
En frère de la mort, car l'amour ment, parfois..."



Le Fou de Laylâ : Le dîwân de Majnûn

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Dans la vie on prend toujours le mauvais chemin au bon moment. Dany Laferrière.