Pour le Concerto pour violoncelle en la mineur de Schumann, j'avais hésité entre Rostropovitch et elle et je n'ai pas regretté mon choix. Bien sûr Rostropovitch est romantique, agité, volcanesque, mais Du Pré ce n'est plus un archet, c'est un sabre de samourai, un jet de laser. Fougue et précision, tenue et tension, du 100 000 volts qui ne dérape jamais, une concentration passionnée : le Concerto en si mineur op. 104 de Dvorak.
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