Vita Nova
samedi 8 avril 2006
Logos tueur
"C'est une population hyper-sensorialisée. Nous le savons, notamment par les travaux de Marc Tadié, il existe une plasticité neuronale. Telle, que l'homme est provoqué fonctionnellement dans ses dendrites par un manque – et le chasseur toujours à l'affût, a des manques – l'affectivité s'en trouve aiguisée. Pour une émotion, le sang peut couler de leur nez. Un mot peut tuer. Aussi se méfient-ils beaucoup du logos."
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