Les jaunisses que déclenchent le succès de Houellebecq sont assez marrantes. On se plaignait que les gosses ne lisaient et on hurle sur le "marketing Harry Potter". Idem pour Houellebecq, les Français lisent peu et dès qu'ils achètent, rien ne va plus, c'était pas le bon livre (le livre qui a du succès n'est jamais le bon, par définition). Moi ça me fait toujours plaisir quand un écrivain cartonne, quand on en parle autant qu'un film, qu'un CD, enfin tous ces autres "produits de consommation". Je dois avoir l'esprit corporatiste, ce qui est peut-être pire qu'élitiste.
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