"Une vaste villa Renaissance aérée, légèrement déphasée au niveau des proportions, dominée par un David de Michel-Ange (la colonnade est remplie de statues étrusques vraisemblablement authentiques et pillées lorsque les tombes étaient moins protégées que maintenant), et un agréable jardin à l'italienne. Ce jardin est peuplé de statues : on a l'impression de participer à une réception entre amis, voici le Discobole, et là-bas le Laocoon, bonjour Apollon du Belvédère, comment allez-vous ? Mon dieu, on rencontre toujours les mêmes."
La Guerre du faux, Umberto Eco.
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