samedi 27 avril 2013

Katalin Varga



Un film de vengeance, d'honneur, de souffrance et de haine, dont le monde fait un peu penser à celui d'Ismaïl Kadaré, et, comme lui, raconté de façon si poétique, si sobrement, aussi, comme un conte ou une complainte épique, que cette histoire de sang et de sperme est sans violence, elle est naturelle, c'est une histoire de plus qui commence et finit dans la forêt.


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Dans la vie on prend toujours le mauvais chemin au bon moment. Dany Laferrière.